En quelque sorte ma dormeuse du Val (ou de l’Orly Val , mouarff, bien qu’il s’agisse en réalité du TGV.)
Effectivement, 1ère classe, un Vendredi Soir, ambiance feutrée, lumière basse. Pas un bruit, si ce n’est celui de la rame de train qui fend l’air et l’espace à grande vitesse. A l’intérieur, le calme plat, mis à part ce feulement répétitif, sourd, presque inaudible et pourtant entêtant.
La source est rapidement identifiée ; sur le siège à l’opposé du mien, 2 rangs plus loin, une jeune femme s’est endormie, recroquevillée sur elle même.
Comme l’indique la légende, la dormeuse rythmait le silence de son souffle appaisé.
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