1er Dimanche du mois, les musées sont gratuits. Donc, une fois n’est pas coutume (quoi que) réveil bien matinal pour un départ direction le musée du Louvre. Objectif principal, éviter la cohue.
Première surprise, pas tant de monde que ça, les passages de contrôles s’effectuent sans probleme, et nous voici dans les salles d’expo de l’aile Richelieu, avec d’impressionantes statues sumériennes de déités de taureaux ailés (non, rien à voir avec le riz). Après moultes salles aussi émerveillantes les unes que les autres, changement d’époque avec l’aile Denon, qui abrite les peintures italiennes & espagnoles et surtout, les peintures majestueuses des David (le sacre de l’empereur) et autres Gericault (le radeau de la méduse)…
Après avoir salué la Victoire de Samothrace, nous suivons le flux dense et persistant vers le clou de la journée : une toile modeste par la taille mais de renommée internationale, la Joconde reste impassible, son éternel sourire énigmatique collé aux levres.
Laissez un message après le BiiiiiP / please leave us a message