Amazone

Merde.
Il pleut.
Comme une douche. Froide. Glaciale, même.
Les cheveux malmenés par l'eau et le vent et collent à son visage ruisselant.
Sa veste s'ouvre soudain sous la bourrasque et la voila exposée, à la merci des éléments. Elle hâte le pas, et son chemiser épouse ses formes comme une seconde peau. Chacune de ses foulées se répercute sur ses courbes et envoie des vibrations énergisantes et hypnotiques, fixant les regards sur son buste parfait.
La voiture est là. Elle s'y engouffre, le souffle court, rejetant ses cheveux en arrière d'un geste ferme et autoritaire.
La veste est rapidement reléguée à l'isolement des places arrières.
Le froid fait poindre ses seins, dressés comme un défi aux yeux des mâles. Le jeu de la respiration ne fait qu'accentuer l'avidité et le désir brûlant au fond de leurs prunelles...
Il suffit.
Démarrage, gerbe d'eau pour refroidir leurs ardeurs... et sourire...
Bien fait !

Le délire du référencement

surprisevoila ce que peut donner un mélange des mots clés et requêtes qui vous ont conduits ici... toute ressemblance avec des personnes ou des faits ayant existé serait... on s'en fout.

Sur sa distribution linux gratuite et open source, Ubuntu, le pingouin grincheux utilise son 9100 igp chipset driver, couplé l'accélération de graveur pour regarder les actrices de Heroes. C'est sur, il aurait pu se satisfaire d'un album de san severino, mais "Monsieur Anderson aimait trop Pamela" est un titre qu'il ne chantera jamais.
L'acidité du sel de ses larmes était étonnante : une image digne d'agata bogacka, une astonishia story en somme.
Anna nicole smith l'avait fait fantasmer par ses formes voluptueuses, comme le plaisir gratuit des disques d'Apple, ou des reprises beatles en bossa nova, ou la dérision du blog d'anais dulfer.

Tout n'était qu'illusion, une autentique symph0nie.

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