Dans le métro, une petite muse et un coquin de lutin se sont alliés pour me souffler quelques mots dans le creux de l’oreille :
Le regard noyé
Dans celui de l’aimé
Les amoureux apaisés
S’endorment enlacés
La douceur de la peau
En coussin délicat
Pour couverture, enroulée
Dans la chaleur d’un bras.
Aux premières lueurs du jour
Les visages s’illuminent, souriants
Car ce rêve léger dont ils sortent tour à tour
Se prolonge en douceur dans la candeur du moment
Le cycle continue
Et la journée se passe
Jusqu’au soir venu :
De nouveau ils s’enlacent…
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